Sunday, July 29, 2018

WELLINGTON ET OLIVER


"Il n'est pas mon petit ami."
"Est-ce que Oliver le sait?"




[Mahlena a écrit cette courte histoire! S'il vous plaît dites à une amie. 🙆🏾]



“Une autre année, un autre anniversaire.”

“Est-ce une mauvaise chose?”




Jeudi, 03 Août 2017

“On se sent comme la même fête que l'année dernière. Et le mois dernier.” Wellington ouvrit une paille tendue pour siroter sa bouteille de Coca-Cola faite avec du vrai sucre.

“Ouais, le fête l'année dernière était le même, parce que l’anniversaire de Coralie est le même jour chaque année,” Noémie a expliqué à son amie comme elles étaient assis sur des tabourets à une table haute du côte du club privé et somber. “Mais, le mois dernier, nous étions en train de célébrer ton petit ami qui a eu 29 ans.”

“Il n’est pas mon petit ami,” Wellington a dit, sa crinière globulaire occupant plus que l’espace personnel moyen attribute.

Noémie regarda par-dessus l’épaule de Wellington la personne qui s’approchait de leur table. “Est-ce qu'Oliver le sait?”

“Bâtonnets de mozzarella?”

Wellington regardait l’homme aux cheveux ondulés qui attendait devant elle.

Noémie a pincé un bâton du panier. “Nous parlions juste de vous.”

“Vraiment?” Oliver a demandé.

Wellington a siroté son soda pendant que le reggaeton fredonnait les haut-parleurs.

Noémie s’est levée de son siège, balayant le fromage frit pendant qu’elle se dirigeait vers le bar. “Je vais te faire un recharge.”

“C’est encore plein,” Oliver a protesté.

Elle a mange un autre bâton. “Pas pour longtemps.”

Oliver a glissé sur le tabouret ouvert. “Comment allez-vous?”

Elle le regarda de face. “Bien.”

“Je sais que ça fait un an.”

“Tout le monde ici sait,” Wellington a déploré. “C’est la malédiction de venir à ces rassemblements de personnes Homestead à l’extérieur. La familiarité engender le mépris.”

“Seulement quelques-uns d’entre eux connaissaient ta mère.”

Elle jeta un coup d’œil autour de la pièce, qui grouillait de jeunes professionnels qui dansaient e buvaient de boissons. “Tous connaissent l’histoire.”

“Tu veux en parler?”

Wellington a sorti son telephone pour envoyer un texto. “Je ne veux pas en parler.”

Au bout du bar, Noémie a reçu le message et a salué bonsoir.

“Je rentre à la maison. Wellington a remis le telephone dans la poche de son pantalon noir.

Elle avait commencé à marcher vers le panneau de sortie quand elle a réalisé qu’elle avait oublié quelque chose.

Wellington a levé son menton à Oliver. “Viens-tu?”


**********


“Salut?” Wellington roula vers la fenêtre, éloignant le téléphone d’un Oliver endormi. “J’ai l’air comme ça parce que c’est à peine l’aube ici, Rachel.”

Les yeux toujours fermés, Oliver changea deposition, drapant son torse nu et ciselé sure ses hanches vêtues de pyjama.

Elle fronça les sourcils en voyant les membres no sollicités toucher son corps, mai elle ne les enleva pas. “Ça va?” elle a râpé dans le téléphone. “Non, je n’ai pas lu le Current Messenger depuis que j’ai vécu sur Hale Kapua. C’est une nouvelle pour les gens qui vivent sur l’île. Pourquoi?”

Oliver retourna a ses ronflements faibles.

Wellington a enlevé l’écharpe de soie verte qui protégeait sa récolte exception. Son froncement de sourcils s’approfondit alors qu’elle écoutait Rachel à l’autre bout de la ligne. “Mon père? À qui?” elle a demandé.

Les yeux d’Oliver s’ouvrirent à sa voix augmentée.

“Mais, elle est ma tante.”

“Wells?” La moitié inférieure couverte seulement par le drap supérieur, Oliver tendit la main pour la réconforter, mais Wellington s’était déjà éloigné.

“Je fais mes bagages. Que pense-tu que fais?” Wellington a dit dans le téléphone, utilisant sa main gauche pour déchirer la valise monogrammée grise d’éléphant hors du placard et sur le sol.

“Où allez-vous?” Oliver demanda, ses cheveux épais plâtres, en bas, et de côte sur sa tête.

“Je te verrai dans 48 heures,” Wellington a dit à Rachel. Elle a regardé Oliver. “49, si je me traite… Ou, je suis sûr. Je me débrouillerai… Je t’aime aussi. On se voit après-demain.” Elle a décompressé le sac. “Je retourne au Kapualani Ranch,” Wellington a informé Oliver sans le regarder.

“Est-ce que quelque chose est arrivé à ton père?” Il a trouvé ses boxers au bout du lit.

“Il a perdu la tête.”

Oliver regarda dans la valise à moitié pleine. “J’allais t’offrir pour t’aider à emballer, mais as-tu déjà préparé ce sac?”

Elle laissa tomber un organisateur en plastique plat sur les objets préemballés et remit la valise à zero. “Je porte une copie carbone de la même tenue tous les jours. Et oui, je garde ce sac emballé. Restez prêt, vous n’avez pas à vous preparer.” Elle s’assit a son bureau et déverrouilla son ordinateur. “N’avez-vous pas appris cela dans Arco Iris?”

“J’ai appris beaucoup de choses, y compris les talents que vous avez appréciés hier soir.” Il l’a vue cliqueter avec ferveur sur le site de voyage de Homestead. “Combien de temps seras-tu parti?”

Wellington a fait un dernier clic. Elle a rassemblé l’ordinateur et les cordes dans un sac à dos coordonné gris elephant. “J’ai eu un billet aller simple.”

“Qu’en est-il de vos recherches à l’université?”

“Ça peut attendre.” Wellington se tenait prés de son bureau. “Mon père, sans me le dire, a annoncé à la presse qu’il est fiancé à la sœur de ma mère. Un an après la mort de ma mère.”

Oliver la ramena au lit pour qu’elle puisse s’asseoir sur ses genoux. “Voulez-vous que je vienne avec vous?”

“Vous avez vrai travail.” Wellington s’est levé.

Oliver l’a tirée vers le bas. “J’essaie de t’aider, mais je ne sais pas comment.”

Wellington s’est levé a nouveau. “J’essaye de te montrer comment.” Elle a enlevé son pantalon de pyjama. Puis elle passa son pouce sur sa lèvre supérieure, enlevant quelques résidus.

Oliver laissa guider sa bouche plus près.

“Fais ce que tu aimes,” elle a commandé. “C’est ce que vous êtes bon.”




FIN


[En quoi es tu bon?
Avez-vous lu toute l'histoire? Toutes nos félicitations!
S'il vous plaît dites à une amie.🙆🏾]


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